Esb - la vache folle
ESB – la vache folle
Il y a une grande inquiétude à cause de l’ encéphalopathie spongiforme bovine, une maladie du cerveaux, qui est communiquée / transmis par viande des bovins contaminés. Mais cela n’ avait pas empêché la consommation de viande bovine ces dernières années. On a mis le logo « Viande Bovine Française » sur les étiquettes et il y a aussi un maintien de l’ embargo sur la viande britannique.
L’ an dernier, beaucoup de Français deviennent encore un fois inquiétés. Il y a de tests de dépistage rapide sur les animaux qui sont considérés comme particulièrement à risque. Mais ces tests ne font rien que inquiéter la population.
Un négociant en bestiaux a mis le feux aux poudres à cause d’ une vache malade. La Direction de fraudes tolérait la présence de 0,3% de farines animales dans l’ aliment des bovins, pourtant réputé totalement propre depuis 1990. Cette découverte a fait planer un doute grand. Un tribunal français a demandé aux ministère de l’ Agriculture de s’ expliquer sur sa gestion de la vache folle. En novembre des nombreuses communes ont pris la décision d’ interdire la viande bovine dans leurs cantines scolaires. C’ est pourquoi l’ affolement franchissait.
La secrétaire d’ État à la santé pronostique pour la France plusieurs dizaines de cas de la forme humaine de l’ ESB, qui est une nouvelle variante de la maladie Creutzfeld-Jakob. Les familles des victimes ont porté plainte pour empoissonnement après que la télévision montrait l’ agonie de deux adolescents. La polémique a gagné le milieu politique. Jacques Chirac et Lionel Jospin ont étalé leurs divergences à un sommet franco-allemand.
Résultat des courses : la consommation de viande bovine avait divisée par deux en novembre. Les pays importateurs ont interrompu tout ou une partie de leurs achats en France.
Les entreprises de la filière bovine tournent au ralenti. On veut enrayer la crise. C’ est pourquoi le gouvernement annonce des mesures sanitaires qui combinent la suppression des farines et des graisses animales dans l’ alimentation de tous les animaux, l’ allongement de la liste des viandes à risque (par exemple le T-Bone steak a été interdit), et l’ extension du programme de dépistage de l’ ESB. Un contrôle est crée parce que les cas de l’ ESB se multiplient.
L’ Allemagne considérait avec scepticisme les mesures prises en France, mais cette attitude a changé du jour au lendemain avec la découverte des premiers cas de l’ ESB en Espagne et en Allemagne. Auparavant ces deux pays étaient soupçonnés en France de ne pas tenter à dépister l’ ESB.
Les reproches à ces deux grands pays d’ élevage bovin ne s’ arrêtent pas. Ils refusent de retirer les matériaux à risque. Les nouvelles mesures qui sont décidés par la France annoncent peut-être l’ extinction définitive de l’ ESB et de la nouvelle forme de la maladie Creutzfeld-Jakob. La suppression des farines animales en 1988 a entraîne le déclin rapide de l’ ESB à partir de 1994. Les années entre 1988 et 1994, c’ est le temps d’ incubation de la maladie. L’ alimentation était la cause principale du drame.
Le Royaume-Uni a dénombré près de 2000 vaches folles en l’ an 2000 et la France a dénombré plus de 100. Mais une transmission de la maladie de la vache à son veau n’ explique pas tout. Certaines croient qu’ une contamination par les acariens des fourrages, les bouses de vaches, le sol ou même les lisiers de porc serait possible. L’ incertitude s’ il une transmission à l’ homme serait possible est beaucoup plus grande à l’ heure présente. La nouvelle variante de Creutzfeld-Jakob a déjà fait 85 victimes en Grande-Bretagne. Professeur Robert Will constate une augmentation manifeste du nombre de cas avec le temps.
On ne connaît en effet ni sa durée d’ incubation, ni la dose minimale infectieuse.
Cette situation mérite une extrême attention en France.
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