La corse
La Corse, île de beauté
L’introduction
La corse est une île, située dans la Méditerranée à 170 km au large de la côte niçoise et à mois de 100 km de l’Italie. Elle s’étend sur 8.570 kilomètre carré et possède 249.740 habitants. En autre la corse comte deux départements: la Haute-Corse et la Corse-du-Sud. La capitale de la Corse-du-Sud est Ajaccio est de la Haute-Corse (il est) Bastia.
Le relief
Un massif cristallin s’étend sur tout la longueur de l’île, du nord au sud et la partage en deux parties: au nord se trouve le point culminant de la Corse, le monte Cinto (2.710 m d’altitude). Dans cette partie il y a aussi la grande vallée du Golo.
La partie méridionale du massif est moins escarpée. Le point culminant est le Monte Incudine (2.136 m d’altitude).
Une plaine d’alluvions domine à l’est et le sud de l’île s’appelle la plaine d’Aleria et s’étend ainsi le long de la côte oriental.
Ajaccio
Ajaccio est la capital de la Corse est un port (l’un des principaux de l’île) ouvert sur la mer Méditerranée. Ses activités économiques reposent essentiellement sur le commerce portuaire, le tourisme, la construction et la maintenance navales, la pêche et la transformation des produits agricoles régionaux (vin, huile d’olive, bois,...).
La ville est aujourd’hui entourée de quartiers résidentiels. La maison de Napoléon, qui naquit à Ajaccio en 1870, a été transformée en musée (Maison Bonaparte). La ville abrite également un musée municipal doté d’une importante collection de peintures italiennes. Les monuments les plus remarquables sont la Citadelle, la cathédrale de style Renaissance, le palais Fesch et la Chapelle impériale.
Le climat
La Région bénéficie d’un climat de type méditerranéen, modifié et adouci. Les précipitations s’élèvent à 900 mm par an environ et
se répartissent de façon irrégulière sur l’année.
L’espace méridional de la Corse est caractérisé par des conditions climatiques plus chaudes et plus sèches que le Nord.
L’agriculture
La fertilité des sols y est globalement médiocre et c’est pourquoi on a développé une mécanisation pour une irrigation efficace. On cultive des agrumes, des nectarines, des avocats, des olives, des poires, des kiwis, etc. La clémentine constitue la principale production.
Il y a aussi la production du vin. La viticulture occupe une superficie de 8.
500 hectare. Le vignoble de qualité se situe principalement sur les coteaux d’Ajaccio au sud, dans la région de Patrimonio et en Balagne au nord. Le Cap-Corse produit également d’excellents vins sous l’appellation «coteaux-du-cap-corse » et de remarquables muscats d’appellation d’origine contrôlée.
Les nombreuse forêts de l’île (par exemple forêt de Vizzavona) sont victimes chaque année de multiples incendies.
La principale activité agricole constitue l’élevage (bovins, ovins, caprins, porcins). Le cheptel qui compte environ 130.
000 têtes, est principalement orienté vers la production laitière. La cochonnaille corse propose des produits de renom. Par exemple: la coppa, le prisuttu (jambon cru) ou encore les figatelli (saucisses de foie).
L’industrie
Le sous-sol de la Région ne contient pas de ressources énergétiques et ses gisements de minerais (antimoine à Vica, fer dans le golfe de Sagone, plomb argentifère en Balagne) sont insuffisants pour être compétitifs. De plus, la Corse souffre de son insularité : les coûts de production y sont plus élèves et tout vente importants qu’ailleurs. Les débouchés de l’économie corse et de ses 5.
000 entreprises artisanales sont ainsi essentiellement régionaux.
Le marché intérieur et les industries sont concentrés dans les deux plus grands agglomérations de l’île : Bastia, premier pôle économique de la Région, où sont regroupées les principes industries du département (tabac, bois, agro-alimentaire,...). Ajaccio, second pôle industriel de l’île, abrite les plus importants industries de la Corse-du-Sud.
Enfin, Porto-Vencchio accueille l’industrie du chêne-liège et des salines.
Le tourisme
Le dynamisme du secteur tertiaire repose essentiellement sur le tourisme, principale activité et principale ressource de l’île. En moyenne, la région accueille annuellement 1.300.000 touristes.
Le tourisme balnéaire est le plus favorisé, la Corse disposant en effet d’un riche littoral.
Les stations balnéaires à forte capacité d’hébergement sont principalement localisées sur la façade occidentale de la Région :
Saint-Florent au nord, l’île Rousse et Calvi sur le littoral de la Balagne, Porto, Cargèse, Propriano et enfin Bonifacio à la pointe sud de la Corse. Certaines régions naturelles – la Balagne et le Cap-Corse au nord par exemple – sont également très prisées.
La montagne corse connaît un succès touristique significatif. Corte est un lieu de séjour estival apprécie un point de départ pour de nombreuse excursions. De même, Vizzavona l’une des plus belles forêts de Corse, s’étendant sur 1.530 hectare (située au centre de la Région), est un site très fréquenté principalement pour ses sentiers et ses routes forestières.
Enfin, lors de la saison hivernale, plusieurs stations de sports d’hiver sont ouvertes. (Par exemple : Muratello, dans la forêt de Vizzavona et Quenza)
En dépit de ces atouts naturels et culturels, l’activité touristique reste marquée par les faiblesses économiques conjoncturelles de l’île : le marché de l’emploi régional connaît un taux de chômage de 15 pour cent (moyenne nationale 11 pour cent). En plus le réseau de transport est largement insuffisant :
Le trafic des quatre aéroports, les ports de voyageurs et le réseau des routes nationales et départementales nécessitent une amélioration. Les infrastructures d’hébergement touristiques sont également insuffisantes puisque la Région dispose d’une capacité hôtelière réduite à 10.000 chambres.
Front de libération corse (FLNC)
L’organisation politique de libération corse national corse (FLNC) est née en 1976.
Cette organisation revendique l’indépendance de la Corse, au besoin par la lutte armée et des attentats.
La création du FLNC
Après le drame d’Aleria qui a entraîné la mort de deux policiers (en août 1975), le Front de libération voit le jour le mai 1976. Il est le résultat de la fusion de deux mouvements clandestins: le Fronte paesanu corsu di liberazione (Front paysan pour la Corse libre, FPCL) et Ghiustizia Paolina.
Le choix de la lutte armée a pour but de populariser les revendications vitales. Ces revendications sont:
Reconnaissance du peuple corse
Sauvegarde de son identité
Enseignement obligatoire de sa langue
Préservation de son patrimoine
Développement de son économie
Pour accepter ces revendications le FLNC utilise beaucoup d’attentats et de plasticages.
Des séries d’attentats sont principalement menées contre les symboles de l’État (bâtiments publics, représentants de l’État) et contre les capitaux étrangers.
Les étapes de la violence
21 août 1975
Huit hommes font irruption chez un grossiste en vin pied-noir près d’Aleria. Les occupants qui sont membres de l’Action régionaliste corse (ARC) veulent faire remarquer à leurs situation financière difficile des petits viticulteurs locaux. Quatre saisonniers maghrébins sont pris en otages. Cette prise d’otages s’est terminé par le mort de deux membres des forces de l’ordre et par un activiste grièvement blessé. Après le Front de libération nationale de la Corse (FLNC) qui veut obtenir l’indépendance par la lutte armée, voit le jour.
6 Juin 1980
Plusieurs personnes sont tuées lors d’affrontement avec les force de l’ordre.
Au printemps 1981, un attentat fait un mort à l’aéroport d’Ajaccio lors de la venue du président Giscard d’Estaing.
Juin 1981
Dés l’arrive de la gauche au pouvoir, le ministre de l’Intérieur (Gaston Defferre) dote l’île d’un statut particulier de région. Une assemblée territoriale de 61 membres, élus à la proportionnelle, est créée.
26 novembre 1990
Le Front de libération nationale da la Corse se partage en deux parties :
Le canal historique et le canal habituel, qui voulaient le renoncement. Le même mois, le ministre de l’intérieur (Pierre Joxe), fait adopter un nouveau statut pour l’île qui en reconnaissant la spécificité corse, étend ses pouvoirs plus que ceux de toute autre région. Côte nationalistes, les luttes entre partis rivales feront beaucoup de morts entre 1993 et 1996.
11 janvier 1996
400 nationalistes du FLNC-Canal historique encagoulés et armés tiennent une conférence de presse dans le marquis à Tralonca, près de Corte. Cette réunion annonce un durcissent des actions armées. En octobre l’attentat contre la mairie de Bordeaux met fin aux tentatives de dialogue menés par le gouvernement Juppé.
6 février 1998
Assassinat du préfet de région Claude Erignac à Ajaccio ses tueurs sont arrêtés, sauf Yvan Collonna, toujours en fuite.
13 décembre 1999
Lionel Jospin reçoit à Matignon des représentants des forces politiques corses, dont les nationalistes de Corsica Nazione, Jean-Guy Talamoni et Paul Quastana.
Août 2000
Corsica Nazione proclame les revendications préalables à une paix durable des nationalistes corses avec le pouvoir central de Paris chez une rendez-vous annuel des mouvements autonomistes de France.
Ces revendications sont :
Le regroupement à Bastia des vingt-six détenus nationalistes incarcérés sur le continent, puis l’amnistie de l’ensemble des nationalistes militants détenus ou recherchés.
La „corsisation“ des emplois dans l’administration
La reconnaissance juridique du « peuple corse »
Les autres problèmes en Corse
Mais la Corse n’est pas seulement touchée par le problème des groupes nationales mais aussi des problèmes comme la violence raciste, le sida, la drogue et la pauvreté. Dans les suivants paragraphes je veut traiter ces problèmes.
Violence raciste
En Corse il y a des familles d’origine marocaine qui ont dû fuir la Corse parce que ils sont agressées ou menacées des semaines durant. Par exemple la famille Boutayeb. Abdelghali Boutayeb (19 ans) est attaque à trois reprises en pleine rue de la même personne.
Le dernière fois Abdelghali est jeté au sol et roué de coups, au point que sans connaissance. Apres cet incident il a dépose une plaine mais l’agresseur est laissé en libre jusqu’à la citation. La famille Boutayeb avait peur dès lors ils décidaient de partir avant même le procès.
Les auteurs de l’attentat ont écrits une tract où ils ont dits qu’ils ne veulaient pas personne qui n’est pas corse ainsi aussi la famille Boutayeb. La communauté marocaine comte 13.000 personnes et une partie de la Corse pense qu’il y a trop d’étrangers et cette partie utilise même comme le FLNC la violence pour se faire accepter.
Sida et drogues
Un autre problème est le sida et la drogue en Corse. Ce sont des sujets tabous. Caractéristique pour la population corse est que les personnes corse pensent que le sida et une maladie qui est réservée des homosexuels et des drogués. En Corse on évalue entre 500 et 600 le nombre de sérologie positives.
On essaye d’expliquer ces nombres par trois facteurs :
La situation géographique de la Corse, située dans le bassin méditerranée où l’on compte les trois quarts des cas de sida déclarés en Europe.
Le brassage de population
L’arrivée de la drogue au milieu des années 80, au moment même de l’apparition de l’épidémie.
Les cames sont financent de la famille. En Corse il n’y a pas de deal de rue, les toxicose shootent dans leur chambre à côté de celle la famille. En plus il est la famille qui fait l’achat de la came et c’est pourquoi la police heurte au silence des familles.
En autre de plus en plus de jeunes se mettent à boire. C’est encore plus frappant en milieu rural qu’urbain.
La pauvreté
En corse on ne peut pas voir la pauvreté au premier coup d’oeil dès lors on ne peut pas voire de SDF dans la rue.
La solidarité des familles aide beaucoup de personnes. On aide les parents dans une détresse et l’accueille chez soi. À Bastia a été ouvert un « Resto du coeur » et cet restaurant est plus en plus visité. Cette institution met à la disposition un total de 65 600 repas à 900 personnes, soit 370 familles. On évalue à 40.000 le nombre de personnes vivant dans la précarité en Corse.
Mateo Falcone :
La nouvelle « Mateo Falcone » s’agit d’une personne qui est riche et qui possède aussi une grande réputation. Cet homme a trois filles et un fils (Fortunato) qui doit hériter le nom. Un certain jour Mateo Falcone veut partir avec sa femme pour visiter un de ses troupeaux. Fortunato doit rester pour garder la maison. En jour un maquisard blessé demande à Fortunato de se cacher parce qu’on le poursuit. Fortunato cache l’homme (Gianetto Sapiero) dans un tas de foin.
Après un adjudant (Tiodoro Gamba) qui est le oncle de Fortunato vient et veut savoir s’il a vu passer un homme. D’abord Fortunato se moque de Gamba et de ses menaces mais après son oncle lui promet une montre s’il dit où l’homme se cache. Fortunato ne peut pas résister et montre Gamba la cachette de Gianetto Sapiero. L’adjudant arrête le bandit. Plus tard Mateo Falcone et sa femme Giuseppa reviennent. Falcone voitce qui s’est passé et se fâche contre Fortunato.
Malgré que son fils demande la grâce, Mateo Falcone tue son fils.
www.corse.pref.gouv.fr/corse/corse.
htmwww.fundus.orgwww.focus.de/dilba.htmwww.
encarta.de (fr)
Violence raciste sur l’Ile de Beauté – Revue de la Presse, Février 2000
Corse : le mal être des jeunes – Revue de la Presse, Septembre 2000
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