Le bourgeois gentilhomme
L’auteur:Jean-Baptiste Poquelin (connu sous le nom de plume Molière) est né le quinze janvier 1622 à Paris. Son père était tapissier à la cour. De 1636 à 1641 Jean Baptiste a fréquenté le collège jésuitique Clermont à Paris. Puis il a fait son droit pour peu de temps. Avec Madeleine Béjart, il a fondé «L’Illustre Théâtre», le prédécesseur de la «Comédie Française» et il a voyagé avec eux dans toute la France. Enfin cette troupe est restée dans la capitale où Molière était dans la manche de Louis XIV, qui lui donnait le «Théâtre du Palais Royal».
À Paris la majorité de ses œuvres prenait naissance; les plus importantes sont:
«Le Tartuffe»
«L’Avare»
«Le Malade Imaginaire»
«Le Bourgeois Gentilhomme»
«L’Étourdi»
etc. …
Après une longue maladie il est mort dans sa cinquante et unième année. ( le 17 février 1673 à Paris)
Le contenu:Cette comédie se compose de cinq actes. La personne principale est le riche bourgeois Monsieur Jourdain, qui essaie de se comporter comme un gentilhomme (par exemple, il prend des leçons auprès des maîtres de musique, de danse, d’armes et de philosophie). De plus, il est tellement fier de connaître le comte Dorant, mais celui ne veut que son argent, mais M. Jourdain est aveuglé par ses flatteries - seulement Madame Jourdain reconnaît la fraude.
Par intermédiaire du comte il laisse remettre beaucoup de beaux cadeaux à la marquise Dorième, mais en réalité celui-ci affirme qu’ils sont ses propres présents. Pendant l’absence de Madame Jourdain Dorant organise une grande fête pour Dorième dans la maison de Jourdain, qui paye tout. Entre-temps Cléonte demande en mariage la fille de Jourdain, Covielle, mais Monsieur Jourdain ne le permet pas, parce que Cléonte n’est pas un gentilhomme. En exploitant la fierté de Monsieur Jourdain, le couple d’amoureux le trompe avec un déguisement. À la fin de la pièce Cléonte & Covielle et Dorant & Dorième se marient.
La personne principale:
Monsieur Jourdain est le “héros” de cette comédie.
En plus il est vraiment un fou drôle et en raison de son vanité toutes les autres personnes le trompent et elles le rient. On peut voir cette habitude bien défini par exemple dans la scène où les garçons du maître tailleur - qui a fabriqué le nouvel habit noir de Jourdain pour laisser le paraître comme un Gentilhomme - l’appellent “Mon Gentilhomme, Monseigneur et Votre Grandeur” pour le flatter (voir å l’extrait du texte) . Après cela Monsieur Jourdain les en récompense avec un très grand pourboire. Celui-ci jette généralement son argent par la fenêtre pour être respecté comme un homme d’une classe élevée.
Commentaire:
En général cet œuvre me plaît extraordinairement bien, parce que la comédie est écrite de façon très amusante et elle est assez courte. De plus, le lecteur est - malgré l’unité d’action plate - amusé par une grande quantité des événements plaisants.
À mon avis le point culminant et le point le plus piquant est la nomination de Jourdain au “Mamamouchi”.
L’EXTRAIT DU TEXTE:
Acte II, scène 5:
...
Monsieur Jourdain: La perruque et les plumes sont-elles comme il faut?
Maître tailleur: Tout est bien.
Monsieur Jourdain: (en regardent l’habit du tailleur.
) Ah! ah! monsieur le teilleur, voilà de mon étoffe du dernier habit que vous m’avez fait. Je la reconnais bien.
Maître tailleur: C’est que l’étoffe me sembla si belle que j’en ai voulu lever un habit pour moi.
Monsieur Jourdain: Oui, mais il ne fallait pas le lever avec le mien.
Maître tailleur: Voulez-vous mettre votre habit?
Monsieur Jourdain: Oui, donnez-le moi.
Maître tailleur: Attendez.
Cela ne va pas comme cela. J’ai amené des gens pour vous habiller en cadence, et ces sortes d’habits se mettent avec cérémonie. Holà! entrez, vous autres. Mettez cet habit à monsieur de la manière que vous faites aux personnes de qualité.
(Quatre garçons tailleurs entrent, dont eux lui arrachent le haut-de-chausses e ses exercices, et deux autres la camisole, puis ils lui mettent son habit neuf; et M. Jourdain se promène puis eux et leur montre son habit pour voir s’il est bien.
Le tout à la cadence de toute la symphonie.)
Garçon tailleur: Mon gentilhomme, donnez, s’il vous plaît, aux garçons quelque chose pour boire.
Monsieur Jourdain: Comment m’appelez-vous?
Garçon tailleur: Mon gentilhomme.
Monsieur Jourdain: «Mon gentilhomme!» Voilà ce que c’est de se mettre en personne de qualité! Allez vous-en demeurer toujours habillé en bourgeois, on ne vous dira point. «Mon gentilhomme.» (Donnant de l’argent.
) Tenez, voilà pour «Mon gentilhomme».
Garçon tailleur: Monseigneur, nous vous sommes bien obligés.
Monsieur Jourdain: «Monseigneur!» Oh! oh! «Monseigneur!» Attendez, mon ami «Monseigneur» mérite quelque chose, et ce n’est pas une petit parole que «Monseigneur». Tenez, voilà ce que Monseigneur vous donne.
Garçon tailleur: Monseigneur, nous allons boire tous à la santé de Votre Grandeur.
Monsieur Jourdain: «Votre Grandeur!» Oh! oh! oh! Attendez, ne vous en allez pas.
À moi «Votre Grandeur»! (Bas, à part.) Ma foi, s’il va jusqu’à l’Altesse, il aura toute la bourse. (Haut.) Tenez, voilà pour ma Grandeur.
Garçon tailleur: Monseigneur, nous la remercions très humblement de ses libéralités.
Monsieur Jourdain: Il a bien fait, je lui allais tout donner.
...
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