Un sac de billes
L
‘histoire commence avec les souvenirs de Joseph du salon de coiffure. Il se rappelle très bien encore á ce temps. A ce temps Jo a 10 ans et lui et son frère Maurice font tout ensembles. Joseph est le plus jeune dans sa famille, mais ca lui est égal, parce que tous se comprennent très bien. Les soirs son père lui parle des histoires de son grand-père, qui était très connu et qui joue pour le petit enfant une rôle d’un héros. Il venait de Russie en France où il a rencontré: Liberté - Egalité - Fraternité.
Tous les espoirs des Juifs en France reste sur cette déclaration pendant ces temps parce que les Allemands s’approchent très vite et on sait ce qui se passe en Allemagne depuis les lois raciales. Maintenant tout change pour Joseph. Il lui faut porter une veste avec une étoile jaune et á cause de cela il ne doit faire plus de rien, ni aller en train ni aller au cinéma. Au début Joseph n’est pas mécontent de son étoile, il croit même que c’est une médaille, mais à l’école on le rend responsable de la guerre, parce qu’il est un Juif. Jo ne comprend rien. Il est un vachement parisien et il aime sa patrie.
Même son prof ne lui fait plus attention et il ne lui pose plus de questions. Autrefois Joseph en était heureux, mais maintenant il s’en ennuie. Après l’école lui et Maurice, ils sont battus d’un groupe de garçons seulement à cause de l’étoile jaune. Zérati un bon ami de Joseph veut changer un sac de billes contre l’étoile jaune. Il l’arrache et il en est très fier, parce que c’est sa première affaire, mais aussi son dernier jour à l’école. Le soir le père appelle les deux garçons et il commence à expliquer: Il dit qu’il sont en âge de comprendre les choses.
Il leur faut partir d’ici parce que Paris devient trop dangereux pour les Juifs. Ils doivent fuir en zone libre chez leurs deux frères, Henri et Albert. Après un certain temps le père et le mère vont y suivre. Il donne 5.000 francs aux garçons et puis ils se mettent en marche.
Après un long voyage ils arrivent à Dax où un prêtre les aide à passer le contrôle allemand et puis ils se rendent à Hagetmau.
Arrivé au but ils cherchent le passeur qui doit leur aider à passer la ligne de démarcation. Quand les deux demandent le passeur à un gosse il leur propose qu’il aille les porter de la ligne de démarcation meilleur marché. La nuit ils se rencontrent à un pont. Joseph se réjouit de cette circonstance parce qu’il aime les aventures. Il fait une comparaison avec les Indiens et les cow-boys. Les frères avec Raymond, le gosse, passent une forêt.
Il leur propose de dormir dans une ferme quittée. Quand Maurice lui demande quand on passe la ligne de démarcation Raymand répond en riant qu’on l’a déjà faite. C’est une grande frustration pour Jo parce qu’il voulait faire l’expérience d’une aventure.
Après un voyage de deux semaines ils arrivent à Menton.
Là, les deux garçons sont à la recherche de leurs frères. Henri et Albert travaillent dans un salon de coiffure.
Quand Henri regarde les deux gosses il rend très heureux. Lui et ses frères vont à la maison chez Albert qui a son jour libre. Arrivé à la nouvelle maison on est heureux, parce que la famille se reforme peu à peu. La soirée il y a une fête familiale et on parle de ses expériences, de Dax, de la ligne de démarcation et des étoiles jaunes.
Un jour ils reçoivent une lettre de leur parents qui sont dans un camp pas loin de Pau. Ils avaient réussi de passer la ligne de démarcation, mais puis ils ont été arrêter par les autoritaires de Vichy et mis dans un camp, parce qu’ils n’avaient pas un ausweis.
Henri se rend à Pau et raconte le directeur du camp que ses parents ne sont pas Juifs. Il dit qu’ils descendent d’une famille russe, qui est très connue et catholique. L’escroquerie réussit et les parents s’installent à Nice.
Pour Jo c’est très dur de rester encore à Menton, parce qu’il veut rencontrer ses parents et il veut aussi voir Nice qui lui intéresse tellement.
Un jour deux gendarmes frappent à la porte et demandent à Henri et Albert leur carte d’identité et puis il doivent se présenter à la préfecture pour le S.T.
O (Service de Travail Obligatoire). Ils décident d’aller à Nice chez les parents, parce qu’ils ne veulent Pas aller en Allemagne pour y couper les cheveux. Ça serait trop dangereux. Joseph est content de partir pour Nice, quelquefois il pense aussi qu’il passe des vacances ici, mais puis il entend des reportages de la guerre à la radio.
A Nice Jo rencontre un soldat italien qui veut apprendre le français. Un jour le soldat lui raconte que les italiens vont partir d’ici, mais il explique aussi que les Allemands vont venir.
Le 10 septembre les Allemands arrivent avec les hommes de SS et de la Gestapo et Nice est occupé la deuxième fois, mais cette fois par les Allemands. Beaucoup de Juifs sont mise en prison. A cause de cela Henri et Albert partent pour la Savoie cependant que Jo et Maurice fréquentent les jeunes Compagnons de France, une organisation paramilitaire du gouvernement de Vichy. Leurs parents restent à Nice.
Au camp il leur faut créer un nouveau passé, parce que quand ils sont interrogés par la Gestapo ils ne peuvent pas raconter qu’ils viennent d’un quartier juif. A cause de cela ils veulent dire qu’ils viennent d’Alger.
Un jour les deux accompagnent un ami à Nice. Ils ne savent pas qu’il est un Juif. Tout un coup ils sont mis à la Gestapo. A l’hôtel Excelsior ils sont interrogés par un SS. Maurice raconte l’histoire de leur vie. Il y a seulement un problème, parce qu’ils sont demandés où ils ont reçu la communion et ils répondent à Nice.
Puis tout est vérifier si c’est correct.
Plus tard Maurice et Jo sont interrogés séparément. Joseph doit décrire sa maison en Alger. On lui demande aussi ses frères et son père. On veut savoir s’ils font de la politique. Il surmonte l’interrogation.
Après six jours d’interrogation un Allemand de la Gestapo donne Maurice deux jours à prouver qu’ils ne sont pas des Juifs. La deuxième journée il retourne avec un certificat de communion. Il l’a reçu d’un prêtre. Il faut encore que le prêtre vienne avant qu’ils sont libérés. Après la libération il leur faut partir de nouveau. Les deux frères décident d’aller chez leur sœur qui habite dans un petit village près de Montluçon, dans le nord de l’Auvergne.
Ils peuvent seulement rester pour un instant, parce qu’il y a déjà des arrestations. Puis Maurice et Joseph pour R., dans la région de Nice. Là, ils travaillent à l’hôtel où ils rencontrent des maquisards, des membres de la Résistance. Le 8 juillet 1944 la Résistance prend le pouvoir, parce que les Allemands fuissent. Jo sauve un homme qui est condamner à mort parce qu’il était un collaborateur avec les Allemands, mais il a aussi sauve la vie du garçon.
Fin août 1944 Paris est libéré. Jo prend le train pour rentrer. Il rencontre sa vieille patrie et sa maison. Son père n’est pas là, mais il comprend tout de suite qu’il ne retournera plus jamais. Jo en est assez triste, mais maintenant tout la famille est réunie.
LES CARACTERES
Joseph: au début de l’histoire il a 10 ans – courageux – heureux de vivre – sûr de soi-même
La famille: tout la famille se montre très courageuse à ces temps durs – elle a beaucoup combines
Les Allemands: ils sont très corrects et bureaucratique
Raymond: il semble d’être un home d’affaires sans grand intérêt aux hommes
EXPLICATION DE TEXTE
Le roman est autobiographique.
Joseph Joffo décrit sa vie, ses aventures et ses sentiments pendant la Deuxième Guerre Mondiale, mais il nous explique aussi un peu d’histoire française et allemande. Le roman nous autorise à prendre connaissance de la situation des Juifs, parce que l’auteur, lui même, il faisait ces expériences.
Il ne semble pas que Joffo écrit cette histoire pour régler un compte avec les Allemands qui ont tué son père. Au contraire, il semble qu’il aime ces temps. Moi personnellement, j’ai avis qu’il ne changerait ses expériences pour rien.
Quand on lit ce livre c’est claire qu’il s’agit des sentiments d’un jeune fils, parce que toutes les scènes contiennent une pensée enfantine et innocente.
Moi, je crois que c’est très important qu’il y a aussi des livres de ce temps qui ne racontent pas seulement les faits où le sort de la grande masse, mais aussi la destinée d’une personne individuelle.
Liberté – Egalité – Fraternité
© by Widrich Franz
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